Brenda Biya
L’unique fille du président de la République a indiqué sur es réseaux sociaux qu’elle n’est pas lesbienne telle que plusieurs internautes l’affirment depuis quelques années.
Alors que la rumeur l’accusant d’être homosexuel a refait surface sur la toile, Brenda Biya, l’unique fille du président de la République ne s’est pas laissé trainer dans la boue. « Bon je vais vous expliquer quelque chose juste pour vous éclaircir votre lanterne. En général la sexualité c’est un spectrum. Quitte à même mettre des étiquettes sur des gens. Pour la plupart les Camerounais c’est soit hétéro ou lesbiennes. Ou pour les hommes soit hétéro soit gay. Déjà veuillez savoir qu’il y a tellement d’étiquettes que les gens utilisent pour identifier leurs sexualités. Et non je ne le suis pas. Et même ça ne vous regarde pas. Juste j’aimerais que tout le monde soit plus éduqué dans ce pays respectueusement », a –t-elle écrit sur les réseaux sociaux.
Cette riposte intervient après la publication de plusieurs photos par les internautes qui affirment que la fille de Paul Biya est lesbienne. « On peut la voir sur ces images, assise à coté d’une jeune femme, dont on ne peut pas identifier ».
Ce n’est d’ailleurs pas la première fois que Brenda Biya fait l’objet de telles accusations. En 2022, la fille du président camerounais s’est trouvé au centre d’une polémique concernant son orientation sexuelle, après avoir été surprise en train d’embrasser une femme.
« Brenda Biya est-t -elle attirée par les femmes ?” se demandaient les internautes.
En effet, dans une vidéo époustouflante qui était devenue virale sur la toile, l’on pouvait voir Brenda, la fille de Paul Biya, président de la république du Cameroun et de la Première dame Chantal Biya en train de tirer subtilement la langue à une femme de peau blanche dans un café.
Répandue telle une trainée de poudre, la vidéo avait suscité une avalanche de réactions dans le rang des internautes. Conscient du fait que l’homosexualité est condamnée au Cameroun, le pays que dirige son père, certains internautes ont estimé qu’une enquête doit être normalement ouverte afin de tirer au clair cette situation.
L’homosexualité est pénalisée au Cameroun. L’article 347-1 du Code pénal prévoit une peine de six mois à cinq ans de prison et une amende allant jusqu’à deux cent mille francs pour toute personne qui a des rapports sexuels avec une personne de son sexe.
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