Fanné Asta est l'une des rares femmes a faire ce métier de briquetière
Fanné Asta la quarantaine bien sonnée, est maman de 3 enfants; elle habite le quartier walia situé à proximité du pont Gueli qui sépare le Tchad et le Cameroun département de Logone et Chari.
C’est des centaines des personnes qui fabrique les briques en terre battue mais Fanné Asta, le jeune dame est la seule parmi ces hommes à gagner sont petit pain quotidien.
“Quand je suis venu acheté les briques, j’ai été surpris de voir une femme se battre parmi tout ces hommes pour nourrir sa famille du jamais vu une femme si courageuse et combative indique un acheteur du coins. 3 ans déjà au côté de ces hommes donc la plus part totalise plus de 10 ans dans ce métier de fabrication de brique en terre battue. Elle sort de chez elle tôt le matin vers 6h à la recherche de l’eau pour laver ces enfants et préparé leur petit déjeuner afin de les envoyés à l’école.
La première fille est en classe de CE1 et le second la classe de CP.
Après le départ des enfants Fanné sort ces matériels de travaille pour se rendre sur le terrain a travers son petit moule elle fabrique les parpaings de 10 et 15 selon la demande du client. Chance pour Fanné tout client veut l’encourager cette dame en achetant sa marchandise.
“Elle est la seul femme parmi ces hommes a faire un travail dure tout ceci pour nourrir sa famille combien des hommes sont bien portant et qui partent quémander ? Je crois que cette mérite nos encouragements. Regarder même les jeunes filles qui se livre à la prostitution au lieu de chercher un métier il y’a pas de sous métier indique un chef du quartier.
A longueur de journée Fanné arrive parfois à fabriquer 100 à 150 briques un à 75F CFA. Pour mieux encadré sa famille elle se repose les dimanches et samedis.
“Je suis veuve j’ai 3 enfants et ma maman qui vie mais ne sort plus elle est vraiment âgée. J’ai accepté faire ce métier rien que pour nourrir ma famille. Je veux que mes enfants étudient sans compter sur le soutient des autres. Parfois vous pouvez compter sur quelqu’un, mais à la longue il peut vous abandonner en cours de route; donc pour le moment, je m’occupe de ma famille avec le peu que je gagne.”
Au delà de son engagement à envoyer ses enfants à l’école, elle se bat dans la sensibilisation; chaque samedi matin elle mobilise les femmes veuves, pour parler de sa vie et les encourage à chercher un métier pour le respect et l’honneur de la femme, qui reste et demeure la mère de l’humanité.
Mimi Mefo Info (MMIF)
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