Les populations de Mokolo et koza subissent les arnaques des gendarmes et policiers au moment où Boko Haram perpétue aussi ses exactions.
Les populations du département du Mayo-Tsanaga, particulièrement celles de l’arrondissement de koza et de Mayo-Moskota sont des populations victimes des exactions de la secte Boko Haram. Malgré cela, elles subissent quotidiennent l’escroquerie des gendarmes et policiers sur les différents routes de ce département.
En longueur de journée, les pauvres paysans sont obligés de débourser la somme de 200 francs pour les vélos et 500f pour les motos. Ceci sous le regard complice des élus locaux qui sont restés bouche bée alors que Boko Haram de son côté rend la vie difficile à ces camerounais de l’extrême Nord du Cameroun. Ces derniers qui ont vu leurs champs dévastés, incendiés par les combattants de Boko Haram. “Nous sommes terrorisés par ces arnaques et demain les mêmes personnes qui nous regardent souffrir vont demander que nous leurs votons. Bêtes que nous sommes nous allons toujours suivre comme des moutons” confie un paysan.
Si hier le Gouvernement camerounais avait demander que les personnes touchées par la crise sécuritaire reprennent leurs activités sans aucune taxe sur les petits marchés mais malheureusement dans la localité de Mokolo c’est le contraire. Abandonnés à eux mêmes, ils ne savent pas à quel saint se vouer. Les pauvres paysans gardent espoir sur la fin de leurs souffrance dans une zone transformer en champs de bataille dans le théâtre des affrontements.
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