Dans la nuit du 13 janvier 2025, aux alentours de minuit, des combattants de Boko Haram ont mené une incursion dans le village de Gance, situé dans l’arrondissement de Kolofata, département du Mayo Sava.
En grand nombre et lourdement armés, ces terroristes ont semé la terreur dans le village, mettant toute la population sous leur emprise, sans la moindre crainte de la base militaire qui se trouve pourtant à proximité.
Les assaillants ont emporté près de 135 têtes de bétail, appartenant à plusieurs villageois, dont Kelani Adoum, Bozoum et Mal Zarami. En plus du vol de bétail, les terroristes ont vandalisé plusieurs maisons, pillé des stocks de céréales, et emporté des effets personnels, plongeant ainsi les familles dans une désolation totale.
Cet acte de violence, mené dans l’indifférence apparente des forces de défense à proximité, montre à quel point la menace terroriste reste omniprésente dans cette localité. Les habitants de Gance se retrouvent une fois de plus pris au piège de cette insécurité grandissante, vivant dans la peur constante de nouvelles incursions.
La présence des terroristes dans cette zone, loin de diminuer, semble s’intensifier, aggravant ainsi la vulnérabilité des populations locales et rendant leur quotidien encore plus incertain et dangereux. La situation devient de plus en plus difficile, et l’urgence de renforcer la sécurité et la protection des civils se fait de plus en plus pressante
Dans la nuit du 12 janvier 2025, aux alentours de minuit, des combattants de Boko Haram ont mené une incursion dans le village de Gance, situé dans l’arrondissement de Kolofata, département du Mayo Sava. En grand nombre et lourdement armés, ces terroristes ont semé la terreur dans le village, mettant toute la population sous leur emprise, sans la moindre crainte de la base militaire qui se trouve pourtant à proximité.
Les habitants de Gance se retrouvent une fois de plus pris au piège de cette insécurité grandissante, vivant dans la peur constante de nouvelles incursions. La présence des terroristes dans cette zone, loin de diminuer, semble s’intensifier, aggravant ainsi la vulnérabilité des populations locales et rendant leur quotidien encore plus incertain et dangereux. La situation devient de plus en plus difficile, et l’urgence de renforcer la sécurité et la protection des civils se fait de plus en plus pressante.