Le constat a été relevé au cours d’un atelier présidé par le gouverneur du Sud sur l’élaboration de la stratégie à l’accès à l’Etat civil.
Le fait que les citoyens n’aient pas accès à l’état civil est une véritable entorse aux droits fondamentaux. Notamment, le droit à une identité juridique, le droit à la nationalité, le droit à l’éducation, le droit à l’éducation, et le droit à la santé, entre autres. Ces manquements sont à l’origine de beaucoup de trouble dans les familles avec les enfants reconnus, et des épouses qui reste sans bénéficier de l’héritage de son époux.
Le gouverneur a reconnu qu’au delà qu’au delà de cette entrave aux droits fondamentaux, ce problème entrave considérablement au bon fonctionnement de l’État en ce qu’il induit une mauvaise planification des politiques de développement, du fait des mauvaises données démographiques.
Cet atelier organisé par la “jeunes rurale active” auquel prennent part les autorités administratives, les magistrats et les maires, vise à apporter une solution rapide et efficace à cet épineux problème d’accès à l’acte d’état civil au Cameroun.