Frappée par les effets néfaste de la pandémie à coronavirus, les économies de la Communauté Économique et monétaire des États d’Afrique centrale doivent miser sur leur transformation structurelles.
Les chefs d’état de la sous région ébauchent les mesures à implémenter pour un retour à la croissance dans un contexte marqué par une forte de récession malgré des projections optimistes. Paul Biya le président en exercice de la CEMAC pense que cette ambition passe par l’amélioration de la gouvernance, l’appui des partenaires internationaux aux Économies qui font déjà des efforts. C’était l’essentiel du discours du président en exercice de la CEMAC lors du sommet extraordinaire des chefs d’état et de Gouvernement tenu par visioconférence hier à partir de Yaoundé.
Le communiqué final à l’issue de ces travaux auxquels ont participé la directrice générale du FMI, les présidents des groupes de la banque mondiale, de la banque africaine de développement, le ministre français des finances.
Ce communiqué propose les recommandations du sommet.
En une vingtaine de point, la poursuite de la Vaccination contre le coronavirus, le souhait de voir maintenir les mécanismes sous Régionaux et internationaux d’appui aux économies destabilisées par la pandémie à coronavirus. Voilà quelques points clés du communiqué final lu par le ministre camerounais de l’économie, de la planification et de l’aménagement du territoire Alamine Ousmane Mey.
L’une des grandes attentes de ce sommet, c’était le réforme du cadre monétaire des pays de la CEMAC . Mais les dirigeants se sont a nouveau limité à instruire la poursuite des réformes en vue d’opérer des ajustements sur le cadre de la coopération monétaire.
Une recommandation déjà entendu en 2016. Comment comprendre le statut quo sur ce point ? Certains pensent que les chefs d’état n’ont pas cette volonté