Innondations, sécheresse, vents violents, avancée du désert, le Cameroun est fortement touché par les effets du changement climatique. Comme les Etats les moins avancés, le pays espère des appuis des puissances industrielles et grands pollueurs conformément aux accords de Paris de 2015.
Les appuis à mettre à la disposition des pays pauvres sont multiformes mais seulement très peu sont informés ou agissent pour les capter. Les écologistes proposent de porter l’action à partir des collectivités territoriales décentralisées pour bénéficier des mille milliards de FCFA que le Groupe IDA de la banque mondiale investi pour la stabilité de la température mondiale
À la COP 21 en 2015, le chef de l’état Camerounais a engagé son pays vers la réduction de 32% des émissions des gaz à effet de serre d’ici 2035. 21 % de ces réductions doivent être accompagnées par la communauté internationale et 11% par les Initiatives locales. 6 ans après, les chercheurs et universitaires proposent de doper le plaidoyer pour l’obtention des appuis internationaux.
Autour du militant écologiste, Didier YIMKOUA, les universitaires et économistes ont organisé une conférence débat sur les moyens de capter les financements que les pays industrialisés doivent mettre à la disposition des pays pauvres dans le cadre de la promotion des économies vertes.
Mimi Mefo Info Français (MMIF)