Alors que la présentation de la dépouille de Field Marshall a été déterminante pour amener les sceptiques à se raviser, des sources s’opposent déjà sur les circonstances de son décès.
Il est tombé ! C’est désormais certain. Field Marshall, le redoutable chef des Red Dracgon’s, un groupe armé séparatiste opérant dans le département du Lebialem au Sud-ouest, n’est plus de ce monde. Sa dépouille a enfin été présentée dans plusieurs localités de la Région depuis ces derniers jours.
Cependant, les sources ne s’accordent la manière par laquelle, sa chute a eu lieu. Pour certains, il est tombé à la suite d’un raid du bataillon d’intervention rapide (Bir), une unité d’élite de l’armée camerounaise. D’autres mettent son décès à l’actif des batailles internes au sein des groupes armés séparatistes. Ces derniers renseignent que Field Marshall, bien qu’affaibli par la maladie, s’est rendu à Alou, fief des ‘’Gorilla Fighter’s’’, un autre groupe armé fondé par le pseudo général ‘’Ayeké’’ tué il y a environ deux ans, afin d’imposer son autorité. Nos sources font savoir qu’il est arrivé et a ligoté le nouveau patron de ce groupe dans le but de le contraindre à lui faire allégeance.
Après l’avoir bien torturé, il l’aurait détaché et lui aurait offert une bière afin de s’excuser. Mais ces excuses n’auraient pas été bien accueillies par ce dernier et ses éléments qui ont aussitôt tendu une embuscade pour en découdre avec lui.
Dans le Département du Lebialem, Field Marshall avait réussi à semer la terreur depuis le déclenchement de la crise anglophone. Il était avec son homologue ‘’general No Pity’’, encore en vie, les combattants séparatistes les plus recherchés et les plus redoutés par l’État du Cameroun.
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