Par Baba Garoua
Dans sa ville natale de Maroua, le romancière primée Djaïli Amal Amadou hier à faire sa première sortie comme Ambassadrice des bonnes volontés de l’UNICEF. Elle était accompagné par le représentant de l’UNICEF au Cameroun Monsieur Jacques Boyer.
La forte délégation se rendu dans le Département de Mayo Sava plus précisément à l’École Publique de Manawachi, dans la localité de Mémé situé à 50km de la ville de Maroua.
L’école visité par l’ambassadrice des bonnes volontés compte 1006 élèves donc 509 garçons et 497 filles encadré par 4 enseignants titulaires et 5 vacataires à la charge des parents d’élèves.
Une écoles qui souffre des infrastructures, les élèves assis à même le sol dans des conditions inhumaines. Pour remédier à ce problème l’UNICEF vient de construire 11 salles de classe avec blocs latrines. Il été question pour Djaïli Amal Amadou originaire de l’Extrême Nord, première fille de Maroua, Ambassadrice des bonnes volontés a toucher du droit à la réalité que vivent les jeunes élèves de cette partie septentrionale du Cameroun.
Je suis très contente que ma première visite soit à l’Extrême-Nord-Nord du Cameroun. J’ai été particulièrement ému de visiter cette école. J’ai trouvé que c’est une très belle école et à voir les actions de l’UNICEF ça l’a rendu encore plus fière et plus confiante justement d’être leur ambassadrice. Si j’ai un message est justement d’encourager la scolarisation des petites filles et leur maintien à l’école le plus longtemps possible le maintien du garçon aussi à l’école mais sait très bien que tu fait de leur nature de fille, les petites filles sont beaucoup plus vulnérables beaucoup plus sujettes aux déperdition scolaire, à l’abandon et aux pesanteurs sociaux culturels, aux mariages précoces et forcés. Donc c’était important pour moi d’axer au moins ma première visite autour de ce thème qui me tient à cœur et qui est aussi au cœur de mes trames romanesques.
exprime Djaïli Amal Amadou