Les habitants de la Région de l’Extrême Nord, Cameroun, traversent les moments difficiles avec la saison pluvieuse qui prend déjà fin.
Il y’a seulement quelques mois, Maroua a été victimes des inondations avec des milliers des familles sans abris, mettent en mal leurs conditions de vie.
Au moment ou cette saison pluvieuse disparaît c’est le paludisme qui prend le relais, elle ravage les plus petits de moins de 10ans. Dans les hôpitaux publics et privées, le paludisme fait des morts, sans compté ceux qui n’ont pas les moyennes et meurt dans les domiciles.
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MAMOUDOU HAYE, Père d’un enfant victime.
Selon les investigations mené dans les hôpitaux de la ville, c’est les enfants de moins de 10 ans qui meurt. Certains parents par faute des moyennes, se rabat vers les médicaments traditionnel pour soigné leurs enfants. Cela complique parfois la santé de ces enfants, donc la plupart ignorent la dose des médicaments traditionnel.
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Mr ADAMOU, INFIRMIER RETRAITÉ
C’est une, des phénomènes négligé par l’État Camerounais; celui de contrôler la provenance de ces médicaments a force d’être complice de la transition.
Le lundi 12 Octobre 2020, au total 7 enfants sont morts du paludisme donc le plus âgé n’a que 10 ans. Il ressort aussi que plusieurs familles ne se protège pas des moustiques, même les moustiquaires distribués pendant les campagnes de vaccination son revendus aux pêcheurs des poissons dans le Lac.
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DADA RITA JULIENNE, MÉNAGÈRE
En attendant, l’intervention du Gouvernement est nécessaire surtout sur la réduction de prix des médicaments dans les hôpitaux, mais aussi un suivi permanente des enfants malades du paludisme, qui meurt a chaque minute.