Issu des familles pauvres, ils ont l’amour et le courage d’aller à l’école comme les autres. Mais malheureusement, c’est une année scolaire de souffrance et de la désolation pour ces enfants.
Nous sommes dans le centre ville de la capitale régionale de l’Extrême Nord Cameroun. Voici donc l’École Publique de Wourdé dans l’Arrondissement de Maroua, 2éme Département du Diamaré. Des milliers d’élèves assis à même le sol dans des conditions inhumain. Certains assis sur des parpaings de fortune pendant 7h du temps d’horloge pour suivre les cours dans des conditions très difficile.
<<J’ai vraiment honte de mon pays voyons dans qu’elle condition ces enfants vont apprendre leur leçon. Mon Dieu, comme je disait tantôt, j’ai honte de mon pays rien ne peut changer, allons seulement.>>
Bouba Haman, parent d’élève
Exigé les frais des inscriptions, certains élèves se voient renvoyé a la maison par faute des moyennes.
<<Le premier jour de la rentrée que je suis arrivée dans cette établissement ils m’ont exigé même les frais d’APE jeté obligé d’aller chercher parce que mon fils m’empêcher de dormir. Ces rêves, c’est d’aller à l’école comme les autres et en tant que maman je ne pouvait pas resté sans ne rien faire.>>
Mme Amadou né Djamilatou, maman d’un élève
Un établissement scolaire à cycle complète qui compte 3 salles de classe, pas des tables bancs, encore moins la clôture pour la sécurité des élèves. C’est un décor désolant qui vous accueillent avec un tableau accroché sur une branche d’arbre avec des élèves entassés comme des fournis exposés a toutes sorte de danger.
<<Je suis obligé de posé mon cahier sur mes jambes pour écrire quand je rentre le soir j’ai mal au coup.>>
AMINATOU SEÏNI, ÉLÈVE
Certains parents ont préféré amener les parpaings à l’école pour permettre a leur progénitures de s’assoir pas pour le luxe, mais pour ne pas vivre le pire de calvaire. Une semaine déjà que la rentrée a démarrer, les enseignants déplorent une éventuelle résultat médiocre à la fin de l’année scolaire, si rien n’est fait pour changer les conditions dans les quelles ces élèves apprennent leur leçon. La mise en place de l’association des parents d’élèves très attendus, pour s’assurer du montant cotisé par les parents, voir dans la mesure du possible, acheter quelques tables bancs.
<< Les 1000Fcfa cotisé par les parents ne pourra jamais acheter 10 tables bancs et même si c’est le cas, les quelles de ces élèves seront assis alors que l’ensemble des parents ont donné leur contribution.>>
Ziringard Michel, Parent et Fonctionnaire Retraité
En attendant l’intervention des communes d’arrondissement qui semblent aussi faire la sourde oreille, les élèves seront obligé de s’adapter a cette école prisonnière.
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