Le 13 avril 2025, la petite ville de Meyo-Centre, située dans le sud du Cameroun, a été secouée par la découverte macabre du corps d’un jeune homme, connu localement comme un fils digne de la communauté. La victime, dont le corps a été retrouvé dans un bosquet, affichait des blessures horrifiantes : le crâne ouvert et certaines parties du corps découpées, des marques inquiétantes du modus operandi du tristement célèbre “tueur à la machette”.
Selon nos sources, la victime avait quitté son domicile pour assister à un match de football, mais n’est jamais rentré. Ce n’est que quatre jours plus tard que son corps a été découvert, laissant la population dans l’angoisse et l’incompréhension. Ce crime atroce s’inscrit dans une série d’incidents violents qui ont récemment frappé la région, alimentant un climat de peur parmi les habitants.
Il y a quelques semaines, les citoyens de Meyo-Centre avaient déjà exprimé leur inquiétude face à une vague de crimes similaires. Des manifestations avaient eu lieu, où les habitants sont descendus dans la rue pour dénoncer cette insécurité grandissante. Dans un élan de frustration, certains ont même pris d’assaut les commerces appartenant à des allogènes, les accusant d’être responsables de ce climat de violence.

Cette dynamique de méfiance envers les étrangers a exacerbé les tensions au sein de la communauté, autrefois paisible. La peur d’être la prochaine victime semble peser lourdement sur les esprits, et la nécessité de mesures de sécurité s’impose de plus en plus.
Une Situation Alarmante
Alors que les autorités locales sont appelées à renforcer la sécurité et à enquêter sur ces crimes, les habitants de Meyo-Centre restent sur le qui-vive, espérant que justice sera rendue et que la tranquillité reviendra dans leur ville. L’ombre du tueur à la machette plane toujours, et la communauté aspire à retrouver un semblant de normalité dans un environnement devenu hostile.
La situation actuelle à Meyo-Centre est un rappel poignant de la fragilité de la sécurité dans nos vies, et il appartient à chacun de contribuer à la paix et à la sécurité de son environnement. La lutte contre la violence et l’insécurité doit être une priorité, tant pour les autorités que pour les citoyens.