Les bureaux installés à Bastos ont été dévalisés dans la nuit de dimanche 14 à lundi 15 mai.
Les brigands sont passés par le toit pour avoir accès au lieu du crime. Des ordinateurs de service ont été emportés, de même qu’un écran de télévision, le coffre à été forcé, l’armoire et des documents vandalisés.
Après constat, les dégâts relevés sont estimés à cinq millions de francs CFA. Une plainte contre inconnu à été déposée pour rattraper les coupables.
Les hommes de média sont de plus en plus victimes d’attaques pouvant aller jusqu’au meurtre au Cameroun.
Le dernier cas en date est celui de l’assassinat d’Anye Nde Nsoh, correspondant du journal The Advocate News Paper. Il a été tué à Ntarikon dans la ville de Bamenda par des rebelles séparatistes le 7 mai dernier, quelques jours seulement après la célébration de la journée internationale de la liberté de la presse.
Ses obsèques ont eu lieu samedi le 13 mai dernier.