Selon nos confrères de Culture Ébène, la nommée Larissa a perdu sa vie samedi dernier après avoir bu un verre de jus dans son propre mariage.
L’information annoncée ce matin en exclusivité par Culture Ébène fait la ronde des réseaux sociaux. L’on apprend qu’une jeune dame du nom de Larissa a perdu sa vie samedi dernier après avoir bu un verre de jus lors de son propre mariage.
Larissa s’est marié à un homme, un certain Louis venu de la France pour l’épouser. Ironie du sort, Louis deviendra veuf juste quelques minutes après son mariage.
Pour le moment on ne connait ni le lieu du mariage, ni le suite de cette scène horrible.
Mais sur les réseaux les internautes n’en reviennent pas. “Malheur à celui par qui est arrivé ce départ inattendu.
Dors en paix chère sœur !
Assia au marié de quelques heures seulement dont je n’imagine même pas le traumatisme.
Quant à nous mes bien aimés, donnons nos vies au Seigneur car nul ne sait ni le jour ni l’heure, ni les circonstances de son départ de cette terre pleine de méchanceté !
Seigneur Jésus-Christ, aide-nous”, a écrit un internaute.
“Mon Dieu le monde dans lequel nous vivons est plein de jalousie doux repos à elle et bcp de courage à son époux c’est très triste”, a également écrit Flore sous cette publication qui a eu plus de 3500 commentaires.
Ce n’est pas la première fois que des gens sont empoisonnés au Cameroun par jalousie. En 2022, une jeune femme avait été empoisonnée par sa copine.
La scène s’était déroulée le mercredi 26 janvier 2022 au quartier MVOG – BETI, dans le 6 éme arrondissement de la capitale politique du Cameroun.
Une certaine NGO EBOG Thérèse, 22 ans, vivait seule dans sa chambre, et travaillait dans un supermarché du quartier MOKOLO à Yaoundé.
Après avoir préparé une sauce de “mbongo tchobi” (recette spécifique aux peuples bassa du Cameroun ; une sorte de sauce noire aux ingrédients particuliers et au poisson, et que l’on accompagne de macabo comme garnitures de premier choix), NGO EBOG Thérèse avait invité sa copine NDEBI YOUSSEU Jenny Yeminah, à la rejoindre pour partager le plat. Les deux filles de l’ethnie bassa partagent donc la même culture. NDEBI YOUSSEU Jenny est âgée de 19 ans, et habite le quartier NKOLBISSONG à Yaoundé. En se rendant chez sa copine, elle aurait alors acheté un paquet de biscuits et un pot de yaourt.
Les deux amies partagent le repas, chacune dans son plat. Thérèse ressent un violent malaise. Elle s’écroule, se tord de douleur au sol. Elle venait d’être empoisonnée par sa copine, qui aurait subrepticement glissé un poison mortel dans son plat de “mbongo tchobi “.
Selon les déclarations faites aux voisins venus à son secours suite à son cri de détresse, elle a eu le temps et la lucidité de dénoncer : ” ma copine m’a empoisonnée et s’est enfui avec mon téléphone’. Les voisins n’avaient pas vu cette copine arriver, et ne la connaissaient pas . Seulement une attestation de perte de carte sa nationale d’identité est retrouvée dans la chambre de Thérèse.
Cette dernière a pour propriétaire, NDEBI YOUSSEU Jenny Yeminah, avec sa filiation complète. L’on croit alors que la jeune fille a égaré ce document, dans son empressement à quitter les lieux, après un forfait présumé. NGO EBOG Thérèse est conduite à l’hôpital, et meurt aussitôt.
Abattue, sa maman raconte ne pas connaître les nombreuses copines de sa fille.
Mais une enquête des fins limiers de la police judiciaire a permis de mettre la main sur cette dernière qui finira par avouer son forfait.
La même année une histoire similaire à secoué la ville de Yaoundé . Un camerounais vivant en Allemagne invité par des amis à prendre un pot, a rendu l’âme de façon étrange à Yaoundé. Il se trouve qu’il avait déjà passé 14 années dans ce pays sans voir ses proches. Il a donc décidé de venir au pays, pour des vacances. Des personnes qui étaient considérées comme ses amis l’ont invité à prendre un pot dans un bar de Yaoundé. Après des gorgées de bière prises, il a eu des malaises. Et aussitôt, il a rendu l’âme.
«D’après ses proches, il avait été invité par ses amis à boire une bière dans un bar de Yaoundé où après avoir bu une bière, il va s’écrouler avant de rendre l’âme», rapportait une source. Celle-ci fait savoir que la famille de ce camerounais privilégie la thèse d’un empoisonnement.
Cette histoire venait s’ajouter à une autre qui s’était produite quelques jours seulement avant. Un certain Victor Arsène Onana était décédé dans des circonstances pareilles. Celui-ci était au pays pour rendre un dernier hommage à ses défunts parents. Victor avait souffert de violents maux de ventre. Il avait été conduit à l’hôpital de Mvog Betsi puis à Jamot. Malheureusement pour lui, tous ses efforts se sont révélés vains. Avant de mourir, on avait alors appris qu’il avait déclaré «vous pensez qu’il y a quelque chose à faire pour moi? Vais-je mourir comme ça».
Albert Atangana