Les habitants des quartiers Madagascar, Babo, Nenga sur les affres des inondations jeté en personne sur le terrain. Ces quartiers situés sur les fleuves du Logone et Chari ont subit les conséquences de la monté des eaux qui se jette dans le Lac Tchad occasionnant plus de 500 personnes sans abris.
La digue qui sert de barrage n’a pas pu supporté le débit et le volume d’eau au niveau du quartier Madagascar, zone de confluence de deux cours d’eau.
Depuis le 2 novembre 2020, ces habitants ont complément perdu sommeil. Plus de 500 habitation engloutie dans l’eau, les maisons disparaîtraient minute par minute, les quartier sont séparé rt c’est difficile de faire un pas sans une pirogue.
Les pirogues font des navettes. Une embarcations de fortune pour 100m de distance, il faut payé 100 à 200Fcfa pour traversé.
Plusieurs élèves n’ont pas pu aller a l’école depuis une semaine. Ces enfants disent avoir peur de monté sur la pirogue et pour arrivé dans leurs établissement, il faut automatiquement aller en pirogue.
Depuis ce 2 novembre 2020, la famine frappe à la porte et le paludisme aussi dicte sa loi et fais des victimes. Les familles crie au secours; elles ne savent plus a quelle saint se voué.
Il est a noté qu’il se pose aussi un problème réelle avec la digue du côté Tchadienne qui est plus élevé que celui du Cameroun. Et avec la monté des eaux et le mouvement du vent, l’eau se rabat du côté Camerounais étant donné que celui du Tchad est plus solide.
Dans l’urgence, il faut déjà dans les localités touchées des dispositifs sanitaires. Beaucoup d’enfants sont toucher par le paludisme et cela fais des victimes.
Plusieurs familles ont tout perdus – sorgho, riz, maïs et les bétails. Une situation très difficile avec la famine qui frappe déjà a la porte.