Le nourrisson qui se porte très bien selon nos sources a été pris en charge dans un orphelinat à kribi du fait que sa génitrice n’ait pas les capacités nécessaires pour le prendre en charge.
L’affaire fait des vagues à Kribi, dans la région du Sud Cameroun. Selon nos confrères de la presse locale, une femme atteinte de maladie mentale a donné naissance à un petit garçon. La délivrance a eu lieu au Centre Médical d’Afan Mabe dans l’arrondissement de Kribi 2. Nos sources affirment que l’enfant se porte très bien. Une autre source contactée par nos confrères de Océan News a indiqué que le nourrisson aurait été conduit à l’orphelina ” Children Hope ” de Bilolo pour une meilleure prise en charge. Sa génitrice n’étant pas en mesure de s’occuper de lui.
Au sein de l’opinion l’affaire suscite un débat houleux. Certains s’interrogent sur les motivations de l’auteur de cet acte sur une personne déficiente mentale. L’auteur de la grossesse serait aussi un déficient mental aussi ou alors un consommateur de chanvre indien ou encore un adepte des pratiques bizarres? Pour le moment aucune piste ne permet de connaître qui est l’auteur de cette grossesse.
Mais d’autres pensent que c’est un miracle de Dieu que cet enfant soit venu au monde en bonne santé.
Ce n’est pas la première fois qu’une fille donne naissance à un enfant au Cameroun. On se souvient qu’il y a quelques années Une déficiente mentale avait donné naissance à des jumeaux dans la région de l’Ouest Cameroun. La jeune mère allaitante ses deux jumeaux avaient été internés à l’hôpital de district de Dschang depuis le lundi 9 janvier 2017, dans un état clinique jugé appréciable. Sourde– muette d’une part et mentalement troublée d’autre part, elle était incapable de fournir la moindre explication sur sa situation.
« Elle ne peut pas nous dire d’où elle vient, ni comment elle s’appelle », informait un infirmier. C’est en cherchant son vélo volé qu’un élève de 1ère C au lycée bilingue de la ville l’avait découverte dans une maison abandonnée. Il avait entrepris de fouiller autour du lycée. Grande est sa surprise de découvrir, dans une maison délaissée, une jeune mère s’occupant de deux bébés qui viennent de naître.
De source hospitalière, elle s’était faite accoucher seule et avait gardé les enfants nus jusqu’à ce qu’à ce que les responsables du lycée avertis les découvrent et sollicitent la police qui les a emmenés à l’hôpital. Les appels lancés pour retrouver des traces de sa famille sont restés vains. « Elle n’entend pas, ne parle pas ».
Albert Atangana