Le premier désaccord porte sur l’article 93 de la loi de finances 2022. La disposition entrée en application enjoint les associations à déclarer leurs impôts et taxes dûs de façon mensuelle.
L’observatoire des libertés publiques au Cameroun pense que c’est la mise en oeuvre des prérogatives du Gouvernement en matière de régulation et de contrôle des associations. L’OLPC que coordonne Mariama NJAYOU pense que les ONG qui rejettent cette disposition ont des choses à cacher dans leurs sources de financement. Sur cette question, certaines ONG pensent que le Gouvernement cache une volonté de contrôler la trésorerie des ONG et associations.
Autre polémique, la situation des Droits de l’homme au Cameroun notamment les questions de liberté publique. L’OLPC indique qu’en interdisant les manifestations publiques, l’État met en œuvre ses prérogatives en matière de droit d’appréciation comme le prévoit la convention de Genève. Si l’observatoire des libertés au Cameroun met en avant le pouvoir d’appréciation des pouvoirs publics, d’autres défenseurs s’alarment d’une situation critique.
L’utilisation sans son avis des attributs et noms de l’OLPC sont également une absence de professionnalisme. Des récriminations à l’endroit d’un groupe d’organisations de la société réunis il y’a quelques semaines à Yaoundé. Ces ONG qui sont opposées à l’OLPC ce sont le REDHAC, Un Monde Avenir et Nouveaux Droits de l’homme.
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