Sur sa page Facebook, le célèbre rappeur a accusé le patron de la police camerounaie de lui avoir retiré son titre de voyage.
Le General Valsero est sans passeport. Le célèbre rappeur a annoncé que depuis l’expiration de soin ancien passeport, il n’a pas pu faire un nouveau titre de voyage.
L’auteur de « Lettre au président », n’est pas passé par quatre chemin pour accuser le le patron de la police camerounaise, Martin Mbarga Nguele, d’être à la manœuvre. « Vous avez décidé d’utiliser les institutions qu’on vous a confiées pour sanctionner. Ce n’est pas différent d’utiliser la DGRE pour assassiner Martinez Zogo. Vous avez décidé Monsieur Mbarga Nguelé d’utiliser le pouvoir du délégué de la sureté pour me retirer ma nationalité camerounaise en interdisant que soit renouvelé mon passeport. Ils ont réussi à faire de moi un apatride; ils ont réussi à m’enlever ce que j’ai de plus cher(…). ça m’a épuisé «, a affirmé Valsero.
Si l’auteur de « Quitte les choses avant qu’elles ne te quittent» est convaincu que sa nationalité lui a été retirée. Selon la loi, il n’est pas possible pour le moment que le célèbre rappeur soit déchu de sa nationalité. Car cette hypothèse n’est envisageable que pour les Camerounais ayant changé de nationalité.
On peut donc parler de déchéance de nationalité ou encore pour « l’étranger qui a acquis la nationalité camerounaise », conformément à la Loi n° 1968-LF-3 du 11 juin 1968, Portant code de la nationalité camerounaise.
Selon plusieurs avis, le General Valsero est juste victime de l’abus de certains fonctionnaires de Police qui veulent se substituer aux institutions.
Albert Atangana