Désormais, c’est un conflit ouvert entre les militants de l’union nationale pour la démocratie et le Progrès (UNDP) et le sous préfet BAZZA MALAÏ KELLY de HILE HALIFA.
En effet, tout commence le 20 mai passé, jour du défilé devant la tribune officielle. Après le passage des hommes en tenue, suivront les élèves et d’autres associations.
Mais seulement, un incident se produit ultérieurement le passage des militants de RDPC.
Au moment où les militants de l’UNDP ont voulu marquer leurs passages, le sous préfet BAZZA MALAÏ KELLY a donné l’ordre aux militaires et gendarmes d’interdire le passage de l’UNDP.
Les militants UNDP ayant vu leurs camarades du RDPC défiler, se sont immédiatement révoltés.
“Nous ne pouvons pas parcourir une quarantaine de kilomètres pour venir fêter, et qu’on nous interdise notre passage. Que le sous préfet sache qu’il a declanché la guerre avec nous.
Encore que nous ne soyons pas obligés de rester dans le RDPC” indique un militant de l’UNDP.
Subitement, le sous préfet a quitté la place des fêtes. Tout ne s’arrête pas là. Les militants de la formation politique ont été bastonnés après le départ du sous préfet. Leurs tenues et banderoles ont été déchirées et les CNI confisquées.
Pis encore, deux militants sont mis en cellule par la brigade de gendarmerie de Hile HALIFA.
Au vu de tout cela, le préfet du département de Logone et Chari se saisi de l’affaire et ordonne immédiatement et sans délais la libération des deux militants de l’UNDP.
Une semaine a posteriori, le bureau national de l’UNDP dépêche leurs cadres juridiques sur le terrain question de mener les enquêtes.
Au cours de cette descente, le sous préfet accusé se joint à l’équipe venue s’enquérir de la situation.
En allant dans les différents villages pour visiter les blessés, les militants victimes n’ont pas digéré de voir le sous préfet dans la suite de la délégation venue s’enquérir de la situation. La tension est tellement forte que le chef de terre est obligé de disparaitre avec le commandant de brigade.
“Je reconnais avoir interdit le passage de l’UNDP après le passage du RDPC pour deux raisons. La première, c’est qu’ils n’ont pas participé aux répétitions générales du défilé à la veille et la deuxième raison : ils ne se sont pas faits enregistrer dans le temps” explique le sous préfet.
En revanche, l’autorité administrative ni avoir donné l’ordre aux forces de défense et de sécurité de Bastonner les militants de l’UNDP encore moins donné l’ordre de les mettre en cellule
Les cadres juridiques du parti n’ont pas voulu donner leur sentiment après avoir saisi la justice Camerounaise.
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